
M. Scholz a refusé d’exclure des pourparlers de coalition avec le parti d’extrême gauche Die Linke, affirmant qu' »une reconnaissance des relations transatlantiques, de l’OTAN et de l’Union européenne est nécessaire pour un bon gouvernement ».
M. Laschet, à son tour, n’a pas exclu la possibilité que son parti puisse continuer à servir dans une coalition avec le SPD, mais avec des rôles senior et junior inversés en cas de victoire de Scholz.
Mme Baerbock a également refusé d’exclure la tenue de pourparlers de coalition entre le SPD, les Verts et Die Linke.
Elle a déclaré que Die Linke était « bien sûr un parti démocratique » qui ne représentait pas des positions aussi extrêmes que l’extrême droite Alternative für Deutschland à l’autre extrémité du spectre politique.