L'ex-manager de Michael Schumacher révèle qu'il ne parle pas à sa famille : "J'ai fait une erreur"

Le manager, qui a fait équipe avec le pilote de Formule 1 pendant plus de 20 ans de sa carrière, aurait vu pour la dernière fois son « meilleur ami » peu avant Noël en 2013. La dernière rencontre entre le duo a eu lieu quelques jours avant Michael. Schumacher a eu un tragique accident de ski.

On pense que la star allemande de la Formule 1 est toujours aux prises avec de graves blessures qu’il a subies lors de l’accident de ski presque mortel dans les Alpes françaises en 2013.

Le conducteur skiait avec son fils, Mick, lorsqu’il est tombé et s’est cogné la tête contre un rocher, provoquant de graves lésions cérébrales.

S’il ne portait pas de casque au moment de l’incident, ses blessures auraient pu être mortelles.

Depuis l’incident, le couple qui, selon M. Weber, vivait dans des « circonstances proches du mariage » s’est séparé.

Dans une interview à RTL, M. Weber tente de trouver une explication à la séparation et déclare : « Je me suis trompé ! »

M. Weber a affirmé qu’il « a regretté cent fois ou mille fois que [he] n’est pas immédiatement monté à bord d’un avion pour se rendre à l’hôpital » pour vérifier le « bon gars » avec qui il était auparavant inséparable.

« J’ai vu la foule et j’ai pensé, je n’ai pas non plus à faire la queue là-bas. Et c’était faux ! J’aurais dû prendre l’avion immédiatement. »

Dans l’autobiographie de l’ex-manager, Gasoline in the Blood, il révèle que le contact avec la famille de Schumacher est toujours rompu huit ans plus tard.

Il écrit : « A ce jour : pas d’appel téléphonique, pas de lettre. En ce jour de douleur accablante, elle m’efface (Corinna Schumacher), je le sais aujourd’hui, de sa vie. »

M. Weber qualifie le pro de la conduite de « fils que je n’ai jamais eu » et dit que le moment qui a suivi son accident l’a laissé « misérable » et dit qu’il « a souffert comme un chien ».

Lorsqu’on lui a demandé s’il savait comment allait la légende de la F1, il a répondu : « Bien sûr, je sais un peu comment il va. Mais je ne veux pas en parler. Rien n’a changé pour moi. L’état est le même qu’il y a huit ans. »