Le théâtre national donne vie au classique "Les Sorcières" de Roald Dahl

Le spectacle de Noël du Théâtre National est toujours un pari. Devoir rivaliser avec une pléthore de pantos et un tsunami de comédies musicales sucrées les met dans une position inconfortable.

Compte tenu de la récente controverse sur la réécriture des livres de Roald Dahl, c’est une décision courageuse de monter une comédie musicale sur l’une de ses œuvres les plus populaires.

Depuis le premier numéro dans lequel un groupe de femmes au foyer font irruption dans une chanson qui révèle qu’elles sont toutes des sorcières : « Nous ne sommes pas des femmes/Nous sommes l’enfer ! ».

L’histoire de l’enfant détestant les sorcières qui organisent une convention à l’Hôtel Magnificent où ils complotent pour transformer tous les enfants en souris est rouge aux dents et Dahl. La production de Lindsey Turner est hilarante, effrayante et parfois malade.

La chorégraphie de Stephen Mears est inventive et amusante et les chansons de la scénariste Lucy Kirkwood et Dave Molloy ont des paroles adroites qui amuseront les adultes et les enfants. teutonique

la blonde Grand High Witch (Katherine Kingsley), le cigare Norwegian Gran (Sally Ann Triplett) et le directeur de l’hôtel, M. Stringer (Daniel Rigby), sont tous à juste titre scandaleux. D’un casting tournant, Bertie Caplan dans le rôle du héros orphelin Luke et Cian Eagle-Service dans le rôle d’un accro au sucre chic.

Bruno a la qualité de star en abondance. Le spectacle arrêtant le numéro de claquettes razzamatazz Bruno Sweet Bruno arrête en fait le spectacle.

Des souris radiocommandées se précipitent sur la scène et sous les tables avant d’apparaître tandis que les garçons se transforment en grandes oreilles et queues poilues.