Le patron de Mercedes, Toto Wolff, se range du côté de l'ingénieur de course dans la rangée de pneus Lewis Hamilton

Lorsqu’on lui a demandé s’il était du côté de l’équipe de stratégie, qui huit tours auparavant avait demandé à Hamilton de venir, Wolff a répondu : « Cela aurait été mieux que ce à quoi nous nous sommes retrouvés à la fin.

« Mais je pense, encore une fois, que c’était mesuré et évidemment si vous êtes sur la voiture, il n’a pas vu de combien il perdait des temps au tour, il n’a pas vu Leclerc tomber.

« Il était clair que si nous étions restés en dehors, nous aurions perdu contre [Pierre] Gasly en tout cas. »

Lorsqu’on lui a demandé si Hamilton était frustré car il ne savait pas qu’il perdrait deux places, Wolff a ajouté : la position.