
Elizaveta Krivonogikh, souvent décrite comme la fille illégitime de Vladimir Poutine, a récemment attiré l’attention en prenant un poste au sein d’une galerie d’art anti-guerre à Paris. Cette révélation a suscité un vif intérêt, tant pour son lien avec le président russe que pour son engagement artistique dans un contexte de tensions géopolitiques croissantes.
Âgée de 19 ans, Elizaveta a été repérée travaillant à Studio Albatros et L Galerie, deux espaces qui promeuvent des œuvres d’art dénonçant la guerre en Ukraine. Ce choix de carrière est particulièrement significatif, étant donné que son père est souvent critiqué pour ses actions militaires en Ukraine. La situation soulève des questions sur la dynamique familiale et les valeurs que la jeune femme souhaite défendre, loin des ombres du Kremlin.
Les rumeurs concernant son identité ont circulé depuis plusieurs années, mais son implication dans des initiatives artistiques anti-guerre marque un tournant. Selon des sources, Elizaveta aurait été encouragée par des amis à s’engager dans des projets qui soutiennent la paix et la créativité, contrastant ainsi avec l’image de son père, souvent perçu comme un symbole de répression et de conflit.
Cette situation met en lumière les tensions au sein de la famille Poutine et soulève des interrogations sur la manière dont les enfants de figures politiques influentes naviguent dans des mondes souvent en opposition. En choisissant de s’exprimer à travers l’art, Elizaveta Krivonogikh semble vouloir tracer son propre chemin, distinct de l’héritage de son père.