
Le ministre britannique a fermement rejeté les allégations selon lesquelles le nouvel accord commercial entre le Royaume-Uni et les États-Unis donnerait à Donald Trump un droit de veto sur les investissements chinois au Royaume-Uni. Cette déclaration a été faite en réponse à des commentaires de certains députés qui ont exprimé des inquiétudes quant à l’influence potentielle des États-Unis sur les décisions économiques britanniques.
Le ministre des Finances a qualifié ces affirmations de « nonsense complet », soulignant que l’accord vise à renforcer les relations commerciales entre les deux nations sans compromettre la souveraineté britannique. Les critiques avaient suggéré que cet accord pourrait limiter la capacité du Royaume-Uni à traiter avec des entreprises chinoises, ce qui pourrait nuire à l’économie britannique, déjà fragilisée par les répercussions de la pandémie de COVID-19.
Les relations commerciales entre le Royaume-Uni et la Chine ont toujours été un sujet délicat, avec des préoccupations croissantes concernant la sécurité nationale et l’influence étrangère. Cependant, le gouvernement britannique insiste sur le fait qu’il continuera à promouvoir des partenariats économiques tout en protégeant les intérêts nationaux.
Cette clarification intervient alors que le Royaume-Uni cherche à diversifier ses relations commerciales post-Brexit. Le ministre a également souligné l’importance de maintenir un dialogue ouvert avec les partenaires internationaux, y compris la Chine, tout en naviguant dans un paysage géopolitique complexe.