Le discours furieux de Guy Verhofstadt à propos du Brexit alors qu'il mettait en garde `` Le Royaume-Uni maintenant nos adversaires ''

Guy Verhofstadt est un critique de longue date du Brexit au Parlement européen, s’attaquant régulièrement aux eurosceptiques au Royaume-Uni. Aujourd’hui, il s’est tourné vers les réseaux sociaux pour intervenir sur le désaccord entourant l’Irlande du Nord après le Brexit. Le député européen et ancien représentant du Brexit au Parlement européen a déclaré: «N’oubliez jamais: ce Brexit est le résultat de choix du gouvernement britannique.

«Différents choix étaient également possibles. Mais le protocole est le seul moyen de protéger la paix en Irlande du Nord.

«Tout le monde a accepté cela, sauf ceux qui l’ont applaudi!»

Ce n’est pas la première fois qu’il frappe au Brexiteers.

Un mois après que le Royaume-Uni a voté pour quitter l’UE en 2016, il a averti que la Grande-Bretagne devenait un «adversaire» de Bruxelles.

Il a déclaré: «Sur le plan politique, le Royaume-Uni est déjà en passe de devenir un adversaire, plutôt qu’un partenaire de confiance, de l’UE… [Theresa] May s’est en fait opposé au Brexit.

«Pourtant, son hostilité anti-européenne ne diffère que par son degré, et non par sa nature, de celle des politiciens pro-Brexit… qui se réjouissent de la possibilité de référendums de sortie supplémentaires à travers l’UE.»

M. Verhofstadt a fait de son mieux pour empêcher le Royaume-Uni de voter sur le congé, avertissant avant le vote que les Britanniques seraient « stupides » d’opter pour une sortie de l’UE.

Il a déclaré en février 2016: «[British citizens] ne sont pas si stupides d’abandonner [EU membership]… Ce qui est économiquement important pour eux… et d’autre part… géopolitiquement, les citoyens britanniques savent très bien que la Grande-Bretagne sans l’UE est en fait un nain au niveau mondial.

La semaine dernière, M. Verhofstadt a attiré plus de colère en affirmant que « tout le monde a perdu » du Brexit.

Il a publié un article sur Dominic Cummings et ses nombreuses accusations contre le Premier ministre Boris Johnson pendant la pandémie, affirmant qu’il était « inapte » à diriger le pays.