Le vaisseau spatial est au cœur des plans de M. Musk d’envoyer des humains sur Mars dans le but de coloniser la planète rouge. Cependant, ils pourraient être déployés pour aider à résoudre un problème plus urgent plus près de chez nous. L’orbite de la Terre est de plus en plus encombrée de débris provenant de missions spatiales précédentes.
Les experts pensent que la jonque constitue une menace sérieuse pour les futurs projets d’exploration de la dernière frontière.
Selon les données fournies par l’Agence spatiale européenne, il existe environ 34 000 objets de plus de 10 cm de diamètre et 900 000 mesurant entre un et 10 cm autour de la Terre.
Avec un nombre toujours croissant de satellites lancés dans les voies spatiales orbitales de la Terre, on craint de plus en plus d’éventuelles collisions à grande vitesse avec ces débris spatiaux.
De telles collisions pourraient déclencher une cascade de débris spatiaux, générant davantage de nuages de débris qui provoqueraient d’autres écrasements.
Ce scénario, connu sous le nom de syndrome de Kessler, pourrait rendre difficile le fonctionnement en orbite terrestre si les choses se dégradent suffisamment.
Le fondateur de SpaceX pense qu’il pourrait avoir une solution intéressante à ce problème imminent.
Le principe fondateur de la création de son entreprise spatiale privée était de rendre la vie multi-planétaire.
L’année dernière, en janvier, il a annoncé son intention d’envoyer un million de personnes sur Mars d’ici 2050.
L’entrepreneur spatial a l’intention de construire 1 000 vaisseaux spatiaux sur 10 ans, ce qui équivaut à 100 vaisseaux spatiaux par an.