«De plus, les concentrés minéraux de la dacite qui se sont formés en 1986 ont donné des âges K-Ar de 60 000 à 2 800 000 ans; ce concentré de pyroxène n’avait que six ans au moment où ils l’ont testé.
«Les mêmes méthodes de datation radiométrique qui datent l’extinction des dinosaures il y a 65 000 000 ans et le Big Bang d’il y a 4 600 000 000 ans ont daté la dacite porphyritique du mont Sainte-Hélène il y a 50 000 à 350 000 ans alors qu’en réalité elle avait six ans.
Le professeur Meyer pense que ces divergences jettent une ombre sur les autres méthodes utilisées pour dater notre planète.
Il a ajouté: «Les scientifiques admettent que la méthode K-Ar n’est pas fiable pour dater des échantillons de moins de 6000 ans; si en effet l’univers a 6000 ans, alors à quoi sert la méthode de datation K-Ar?
« Les catastrophes naturelles comme le mont St. Helens continuent d’être une nouvelle preuve que les formations géologiques ne sont pas aussi vieilles que tout le monde le prétend. La Terre est jeune. »
Les scientifiques ont cependant tenté d’expliquer l’énigme du mont St Helens.