"Les travaillistes trahissent le Brexit : ce sont les principaux signes avant-coureurs"

Cela ne fait même pas cinq ans que nous avons officiellement quitté l’UE et pour les partisans du Brexit comme moi, la sonnette d’alarme devrait sonner.

Depuis le Brexit, Rachel Reeves sera la première chancelière à assister à la réunion de l’Eurogroupe des ministres des Finances de l’UE.

Il devient de jour en jour plus clair que cette soi-disant « réinitialisation » est un stratagème visant à nous rapprocher de l’UE.

Les travaillistes sont encore peuplés d’europhiles qui n’aimerais rien de plus que de nous revoir dans l’Union européenne.

Rachel Reeves nous dit qu’il s’agit de s’améliorer nos perspectives de croissance, mais l’Union européenne souffre d’une crise anémique croissance.

L’économie américaine représente presque le double de la taille de la zone euro, soit 27 400 milliards de dollars, contre 15 500 milliards de dollars. En 2008, il y avait quasiment parité entre les deux régions.

Il est clair que ce virage vers l’Union européenne n’est rien d’autre qu’un stratagème idéologique visant à nous ramener dans le marché unique et finalement à nouveau dans l’UE.

Si elle se concentrait sur la croissance, elle ferait tout ce qui est en son pouvoir pour resserrer ses liens avec les États-Unis et s’écarter des règles et réglementations néfastes de l’UE.

Rachel Reeves doit respecter la décision du peuple britannique en 2016 et se concentrer sur la croissance de l’économie britannique, sans nous rapprocher toujours plus de l’UE.

C’est une question de souveraineté et de responsabilité. L’opinion publique britannique a voté de manière décisive en faveur d’une sortie de l’UE, et non d’un retour par la porte dérobée sous couvert de coopération économique.

Il est temps pour les travaillistes de prendre conscience du fait que leur obsession idéologique pour l’Europe risque de porter atteinte à nos intérêts nationaux.