Pendant des décennies, les prophètes ont pointé du doigt des symboles indiquant que la fin du monde est proche.
Et même si les morts sortant de leurs tombes et une brume rouge descendante sont courants, des essaims d’insectes – en particulier des sauterelles – remplissant le ciel sont peut-être l’image la plus convaincante de la fin des temps.
C’est ce qui a rendu les habitants de Mérida, près de Cancun au Mexique, si terrifiés lorsqu’un essaim de criquets a rempli le ciel, le rendant noir.
La vue de l’invasion des criquets rappelle à beaucoup les récits bibliques du Livre de l’Exode, souvent perçus comme le présage d’un désastre imminent.
En réponse à cette peur, le Secrétariat d’État au développement rural (SEDER) a annoncé qu’il surveillait la situation et lançait des mesures d’extermination.
Ils prévoient d’observer où les insectes s’installent la nuit, si possible dans une zone éloignée, et de mettre en œuvre des « protocoles de contrôle » tôt le matin. Un habitant s’est exclamé : « C’est la fin des temps. Repentez-vous. »
Un autre fait référence à : « Exode 10 : 1-20 ». Un troisième local a commenté : « Nous n’avons pas vu cela depuis si longtemps. Oui, c’est un fléau, mais comme c’est merveilleux !
Une personne a commenté : « Les invasions acridiennes ont existé tout au long de l’histoire et ne sont pas un signe de la fin du monde. Ces ravageurs sont le résultat de leur capacité à se reproduire rapidement dans certaines conditions environnementales favorables.
Cette nouvelle fait suite à un avertissement de l’horloge de la fin du monde selon lequel l’humanité pourrait être au bord de l’effondrement à l’approche de 2024, avec ses aiguilles se rapprochant de plus en plus de « minuit ». L’horloge est une mesure symbolique de la mesure dans laquelle nous sommes sur le point de rendre la Terre inhabitable, mise à jour chaque année par l’organisation à but non lucratif Bulletin of Atomic Scientists de Chicago.