
En 2018, selon le rapport, seulement 0,5% des recettes fiscales totales provenaient de ces impôts en moyenne dans les pays qui les utilisent.
Cependant, les gouvernements étant soumis à une pression croissante, y compris au Royaume-Uni où les effets de la pandémie ont été importants, une réévaluation des droits de succession peut être nécessaire.
Pascal Saint-Amans, directeur du Centre de politique et d’administration fiscales de l’OCDE, a déclaré: «Alors qu’une majorité de pays de l’OCDE prélèvent des droits de succession et de succession, ils jouent un rôle plus limité qu’ils ne le pourraient dans l’augmentation des revenus et la lutte contre les inégalités, car de la façon dont ils ont été conçus.
« Il existe de solides arguments en faveur d’une utilisation accrue des droits de succession, mais une meilleure conception sera nécessaire pour que ces impôts atteignent leurs objectifs. »