Horreur alors qu'un Australien battu par des talibans se fait tirer un coup de fusil sur la tête – VIDEO

Les images horribles montrent un ressortissant australien anonyme à l’aéroport de Kaboul quelques instants après le passage à tabac brutal des talibans alors qu’il crie sur des hommes portant des fusils pour ce qu’ils lui ont fait. Mais quelques instants plus tard, on peut entendre une arme à feu être armée et tirée à deux reprises au-dessus de la tête de l’homme alors que des cris résonnent autour de lui. Les images horribles arrivent alors qu’une source a expliqué à MailOnline comment l’homme a apparemment depuis été séparé de sa famille à Kaboul et qu’on ne sait pas où il se trouve.

La victime peut alors être entendue parler dans une autre langue à son entourage avant qu’un homme ne tente d’intervenir.

Quelques instants plus tard, une petite querelle éclate alors que l’homme intervenant semble essayer de repousser la caméra pour empêcher l’homme de filmer les scènes chaotiques.

Après avoir repris le contrôle de la caméra, l’homme poursuit courageusement son récit pour expliquer ce qui s’est passé.

Il dit : « Voyez ! C’est ce qui m’est arrivé quand je traversais [the] aéroport. »

L’homme qui a une femme à Adélaïde et un frère à Sydney était avec trois hommes et deux femmes qui seraient ses cousins. Le groupe aurait tous été battus par les talibans avant d’être « séparés » et emmenés.

Le chaos monte à l’aéroport de Kaboul alors que la date limite pour l’évacuation se profile au milieu de la pression croissante des talibans pour que les forces occidentales partent, malgré le fait que 2 000 Afghans sont toujours éligibles pour être évacués par le Royaume-Uni

Mardi, le président Biden a réaffirmé au monde qu’il avait l’intention de respecter la date limite de retrait prévue le 31 août malgré les critiques d’opposants et d’alliés, dont le Royaume-Uni, à la suite d’une réunion du G7 mardi.

Boris Johnson a averti que la décision des États-Unis de quitter l’Afghanistan le 31 août mettrait fin aux évacuations de l’aéroport de Kaboul, laissant des milliers de personnes à la merci des talibans.