Meghan Markle a été largement saluée aux États-Unis jeudi soir après sa rencontre enjouée avec la comédienne et animatrice de chat vétéran Ellen DeGeneres. Alors que les fans de Sussex roucoulaient sur la vidéo et que beaucoup observaient à quel point Meghan avait l’air « en paix », la duchesse de Sussex et son mari, le prince Harry, ont également fait l’objet de vives critiques à la suite de leurs récentes sorties.
Un journaliste britannique s’est rendu sur Twitter pour souligner les moments difficiles que les médias français ont donnés à Harry et Meghan.
La dernière couverture du très populaire magazine français Paris Match est cinglante sur les Sussex.
Meghan a récemment été contrainte de s’excuser auprès d’un tribunal pour avoir fait une déclaration trompeuse dans son affaire de confidentialité contre les éditeurs du Mail on Sunday et Paris Match en a profité pour s’en prendre à la duchesse.
Son titre à la une se traduit par : « Pourquoi Meghan a menti. »
Un autre titre du magazine se lit comme suit : « Le masque glisse. »
Paris Match a été diffusé à plus de 560 000 exemplaires en 2020.
Il a également amassé plus de 1,2 million de followers sur les réseaux sociaux.
Le journaliste britannique basé à Paris Peter Allen a affirmé que la critique du magazine à l’encontre de la famille royale du Sussex est particulièrement importante car « les médias français ont été assez respectueux envers eux dans le passé ».
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Cela est intervenu après les excuses de Meghan pour avoir induit un tribunal en erreur quant à savoir si elle avait autorisé un assistant à informer les auteurs de la biographie non officielle Finding Freedom à son sujet.
Les Sussex avaient auparavant insisté sur le fait qu’ils n’avaient aucune implication dans le livre 2020 d’Omid Scobie et Carolyn Durand, « Finding Freedom ».
Mais son ancien attaché de presse Jason Knauf a déclaré à un tribunal que Meghan Markle n’était pas seulement au courant de sa rencontre avec les auteurs de la biographie, mais lui avait envoyé des notes d’information.
Il a déclaré que le couple royal « avait autorisé une coopération spécifique par écrit » en décembre 2018.
Suite à cet aveu, Meghan Markle a déclaré qu’elle ne s’était pas « souvenue » d’e-mails dans lesquels on lui parlait d’une rencontre de deux heures entre les auteurs et son attaché de presse d’alors Jason Knauf pour la biographie.
Dans un communiqué, elle a déclaré : « Je m’excuse auprès de la Cour pour le fait que je ne me souvenais pas de ces échanges à l’époque.
« Je n’avais absolument aucune volonté ou intention d’induire le défendeur ou la Cour en erreur. »