Le Premier ministre Mitsotakis a déclaré que la Grèce ne voulait pas lancer une « course aux armements » mais que le pays devait moderniser ses forces armées après une crise financière de dix ans.
Ces derniers mois, la marine grecque a reçu des offres de six pays, dont la France, les États-Unis, les Pays-Bas et le Royaume-Uni.
La proposition de la France aurait été la plus chère, mais elle s’accompagnait d’autres bonus plus précieux.
M. Karaiosifidis a déclaré : « Il s’agit bien d’une décision politique, pas d’une décision prise par la marine grecque.