M. Barnier a déclaré: «J’ai travaillé tous les jours, tous les jours parfois toutes les nuits pendant ces quatre années en pensant à ce point, et à ce danger évident de paix en Irlande en cas de problème pour l’accord Vendredi Saint/Belfast.
« Et nous prenons beaucoup de temps pour travailler l’environnement britannique avec Theresa May une fois, deux fois, trois fois.
« Nous avons trouvé une solution avec Theresa May, et finalement nous avons trouvé un accord avec Boris Johnson. Pas contre lui. Sans lui, mais avec lui.
« Et encore une fois, chaque mot, chaque phrase a été négocié. »
REAM MORE: L’UE peut faire ce qu’elle veut, nous ne nous en soucions plus, dit ALEX STORY
Emily Maitlis a demandé : « THey a compris exactement ce que signifiait le protocole? »
M. Barnier a répondu : « Oui. Tilce n’est pas une surprise. Tce n’était pas une surprise. «
Le présentateur de BBC Newsnight a alors demandé : « Bvoust reconnaîtrese que ça ne marche pas. Le protocole ne fonctionne pas. «
M. Barnier a déclaré : « Nous devons respecter la signature.«
Elle a ensuite demandé à nouveau : « Mais si Jeffrey Donaldson dit que c’est la fin du partage du pouvoir.
« Si cela ne crée pas la paix, l’UE ne doit-elle pas être plus flexible ?
M. Barnier a répondu : « Le vice-président de la Commission, Maros Sefcovic, a déclaré à plusieurs reprises, y compris il y a quelques jours, « nous sommes prêts à trouver une solution pratique et opérationnelle dans le cadre du protocole, pas à renégocier ».
« Parce que ce protocole a été négocié par des gens sérieux des deux côtés, des gens très sérieux.
« Et Boris Johnson est un Premier ministre sérieux. Nous avons donc négocié avec son équipe, avec lui-même.
A NE PAS MANQUER :
« Il savait exactement ce qu’il avait signé.
Mme Maitlis a demandé : « Ne pensez-vous pas que le protocole finira par être abandonné ? Tranquillement abandonné ? »
M. Barnier a répondu : « Il ne peut pas être possible d’abandonner ce protocole car c’est le seul moyen de trouver une solution à tous les problèmes créés par le Brexit.
« Ce qui crée des problèmes en Irlande, c’est le Brexit, rien d’autre. »