Le groupe terroriste Hezbollah affirme que cinq de ses combattants ont été tués par des frappes aériennes israéliennes à la frontière avec le Liban.
Parmi les hommes tués figure Abbas Raad, fils du chef du bloc parlementaire du Hezbollah, Mohammed Raad, le groupe affirmant dans un communiqué qu’il avait été « martyrisé sur la route de Jérusalem » – une expression qu’ils utilisent lorsqu’un de leurs membres décède.
Soutenus par l’Iran, les accrochages entre le Hezbollah et Israël se sont intensifiés depuis les attaques du Hamas du 7 octobre.
Depuis le début des échanges transfrontaliers, 107 personnes ont été tuées côté libanais, selon un bilan de l’AFP, dont au moins 75 combattants du Hezbollah et au moins 14 civils.
La mort notable d’un agent du Hezbollah survient alors qu’une trêve de quatre jours convenue entre Israël et le Hamas pour l’échange d’otages est reportée à vendredi.