Crise du travail EN DIRECT : Keir Starmer lutte désormais contre une révolte ouverte contre un nouveau complot visant à forcer un demi-tour

Les députés travaillistes d’arrière-ban ont dévoilé une attaque totale contre la position anti-cessez-le-feu de Sir Keir Starmer à Gaza.

Un certain nombre de députés d’extrême gauche ont déposé un amendement au discours du roi prononcé hier, exigeant un cessez-le-feu à Gaza.

Cette décision risque de diviser un parti travailliste fragile, avec des spéculations ce matin selon lesquelles davantage de ministres fantômes pourraient devoir démissionner suite à la démission d’Imran Hussain tard hier soir.

Douze députés travaillistes, ainsi que le député indépendant Jeremy Corbyn, ont soutenu l’amendement, notant le « regret » de la Chambre que le discours n’ait pas « inclus de mesures visant à garantir que le gouvernement respecte le droit international humanitaire et protège les civils en Israël et en Palestine ».

L’amendement se poursuit, avec 20 partisans fustigeant « le siège total et le bombardement de Gaza » par Israël.

Il dit : « La priorité urgente doit être de mettre un terme aux morts et aux souffrances des civils ; « Nous nous félicitons des appels croissants à un cessez-le-feu, y compris de la part du Secrétaire général des Nations Unies… et n’appelons donc pas le gouvernement à faire pression de toute urgence sur toutes les parties pour qu’elles acceptent un cessez-le-feu immédiat. »

L’amendement ne serait certainement pas adopté, mais s’il était réclamé par l’orateur, il pourrait placer un certain nombre de hauts députés travaillistes dans des positions délicates.

Quelque 14 ministres fantômes ont appelé à un cessez-le-feu, en contradiction avec la position officielle du Parti travailliste.