Au cours de son voyage, il a reconnu les difficultés auxquelles les Palestiniens sont confrontés et a déclaré qu’il leur souhaitait « la liberté, la justice et l’égalité » à l’avenir.
Pendant son séjour en Cisjordanie, il a parcouru Bethléem et rencontré des dirigeants musulmans et chrétiens, faisant de lui le membre le plus haut placé du cabinet chargé de mener à bien les engagements royaux officiels en Israël et dans les territoires occupés environnants.
Cette visite a également été poignante pour Charles, car à Jérusalem, il a fait un pèlerinage au tombeau de sa grand-mère, à l’église orthodoxe russe Sainte-Marie-Madeleine, sur le Mont des Oliviers.
La princesse Alice, décédée quand Charles avait 20 ans, a contribué à protéger une famille juive des nazis alors qu’elle vivait en Grèce occupée pendant l’Holocauste.
Autre lien familial touchant, l’huile sainte utilisée pour oindre le roi lors de son couronnement en mai était fabriquée à partir d’olives cultivées sur le Mont des Oliviers, au monastère de Marie-Madeleine et au monastère de l’Ascension.
Le prince William s’est également rendu en Israël et en Palestine en 2018, passant quatre jours dans la région et exprimant ses espoirs de « paix durable » pour tous.