Trois maçons ont perdu leur emploi après avoir dédié la dernière chanson de Shakira, « El Jefe », à leur patron.
Dans la chanson, la chanteuse colombienne critique son ex-beau-père et évoque Lili Melgar, la nounou du couple, qui a été licenciée par son ex-mari Gerard Piqué.
Lili aurait été licenciée sans compensation après avoir parlé à Shakira des prétendues infidélités de son mari.
Cette chanson, connue pour sa forte critique sociale, a trouvé un écho auprès des travailleurs, qui ont trouvé son message sur l’inégalité salariale pertinent.
Inspirés par les paroles de Shakira, ces travailleurs se sont tournés vers TikTok comme plateforme pour attirer l’attention de leur patron et demander une augmentation.
Ils ont créé une danse chorégraphiée au rythme de la chanson, avec des couplets comme : « J’ai un mauvais patron qui ne me paie pas bien, je vais au travail à pied pendant qu’il arrive dans une Mercedes-Benz, il me traite comme une recrue, ça fils de *****. »
Comme on pouvait s’y attendre, leur vidéo est rapidement devenue virale et a atteint les oreilles de leur employeur.
Cependant, le résultat n’a pas été celui espéré.
Au lieu de recevoir l’augmentation de salaire souhaitée, ils ont été informés qu’ils avaient été licenciés.
Dans une vidéo de suivi, leurs expressions ont révélé leur choc et leur déception face à la décision de leur patron.
Ils ont expliqué qu’ils ne s’attendaient pas à ce que leur farce ludique entraîne des conséquences aussi graves.
Dans la vidéo, ils déclarent : « Notre vidéo est devenue virale et nos employeurs l’ont découvert. Nous sommes maintenant à la recherche d’un nouvel emploi.
Malgré la situation difficile, ils ont remercié tous les followers qui ont partagé leur vidéo.
Ils ont dit: « Nous ne savions pas que cela allait se terminer ainsi, mais nous vous demandons de partager cette vidéo car nous sommes des travailleurs acharnés à la recherche d’un travail et nous voulons aller de l’avant. »
Un nouveau rapport d’Oxfam révèle que parmi les 38 pays riches de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), les États-Unis arrivent au dernier rang en matière de mesures en matière de salaires, de protection des travailleurs et de droits du travail.
Les États-Unis se classent au 36e rang sur 38 en matière de politiques salariales, le Mexique se classant en dernière position.