Bruxelles a été contrainte à un demi-tour embarrassant après des tentatives visant à interdire l’utilisation du mot « Noël » en raison de son caractère trop « offensant ».
Les députés européens et les dirigeants du groupe Lega au Parlement européen Marco Zanni et Marco Campomenesi ont déclaré dimanche : « À l’ère de la susceptibilité, même appeler les choses par votre nom ou souhaiter un joyeux Noël est devenu une attitude discriminatoire, à poursuivre au nom de la politiquement correct qui fait tant appel à la gauche et à la majorité qui gouverne mal dans l’UE.
« Ils exigent de changer ce qu’ils n’aiment pas à partir du langage, imposant le novlangue de la pensée unique : une dérive erronée et dangereuse, qui conduit de plus en plus souvent à l’extrémisme de l’annulation de la culture et à la démolition des symboles de l’histoire, avec tous le respect dû à la tolérance, au dialogue et au respect.
« Il est inquiétant que ce raisonnement soit adopté par les institutions européennes : nous aimerions que l’Europe utilise mieux l’argent des citoyens, pour résoudre des problèmes beaucoup plus concrets et urgents.
« Nous ne deviendrons pas complices : nous continuerons à défendre les valeurs judéo-chrétiennes de l’Europe et la sacro-sainte liberté d’expression des citoyens. »
Les députés européens et les dirigeants du groupe Lega au Parlement européen Marco Zanni et Marco Campomenesi ont déclaré dimanche : « À l’ère de la susceptibilité, même appeler les choses par votre nom ou souhaiter un joyeux Noël est devenu une attitude discriminatoire, à poursuivre au nom de la politiquement correct qui fait tant appel à la gauche et à la majorité qui gouverne mal dans l’UE.
« Ils exigent de changer ce qu’ils n’aiment pas à partir du langage, imposant le novlangue de la pensée unique : une dérive erronée et dangereuse, qui conduit de plus en plus souvent à l’extrémisme de l’annulation de la culture et à la démolition des symboles de l’histoire, avec tous le respect dû à la tolérance, au dialogue et au respect.
« Il est inquiétant que ce raisonnement soit adopté par les institutions européennes : nous voudrions que l’Europe utilise mieux l’argent des citoyens, résolve des problèmes beaucoup plus concrets et urgents. Nous ne deviendrons pas complices : nous continuerons à défendre la judéo- Les valeurs chrétiennes de l’Europe et la sacro-sainte liberté d’expression des citoyens. »