Environ 30 000 délégués assisteront à la conférence COP26 la semaine prochaine, aux côtés de dirigeants de certains des pays les plus riches du monde. Ces délégués représentent des entreprises, des ONG, des groupes confessionnels et bien plus encore. Leurs conversations au cours des deux prochaines semaines pourraient déterminer l’avenir de la planète.
Que signifie COP26 ?
La COP26 est la dernière addition à la série de conférences des Nations Unies sur les changements climatiques.
Ils viennent à la demande de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), une organisation composée de centaines de parties constituantes.
L’ONU se réfère à une réunion formelle de ses parties à la CCNUCC comme une Conférence des Parties (COP).
La COP en 2021 est la 26e réunion de ce type, ce qui lui a valu la désignation COP26.
Ces congrégations ont eu lieu chaque année, la première en 1995.
Au milieu des années 90, ils visaient à négocier le protocole de Kyoto et à créer des obligations juridiquement contraignantes conçues pour réduire les gaz à effet de serre.
Les négociations modernes de la COP ont également négocié d’autres traités essentiels tels que l’Accord de Paris, et la réunion de cette année a quatre objectifs clairs.
Protéger les communautés et les habitats naturels
L’ONU déclare que le changement climatique a déjà modifié les environnements, provoquant des « effets dévastateurs » sur les communautés et les écosystèmes.
Les délégués devront montrer leur engagement à atténuer ce préjudice et à protéger les zones dont ils ont la charge.
En pratique, cela signifierait protéger et restaurer les écosystèmes locaux, tout en construisant des infrastructures telles que des défenses qui protégeront les communautés des catastrophes climatiques.
Travailler ensemble
La prémisse centrale des négociations est que les pays peuvent s’engager à atteindre ces objectifs en travaillant ensemble.
À ce titre, les délégués travailleront sur des cadres de collaboration au cours de la réunion.
Il s’agit notamment de finaliser le Paris Rulebook – les règles derrière l’Accord de Paris sur le climat – et plusieurs autres qui favorisent la « collaboration entre les gouvernements, les entreprises et la société civile ».