Il a terminé l’entreprise de dix ans avec l’aide de professeurs de l’Université d’Adélaïde.
On pense que l’appareil est silencieux, envoyant « des faisceaux concentrés de particules dans l’air libre ».
L’énergie impliquée « abattra des avions à une distance allant jusqu’à 500 km et pourra tuer des soldats sans laisser de trace », selon un communiqué annonçant la percée.
Il poursuit que l’appareil « fonctionne silencieusement mais efficacement à des distances énormes que la courbure de la terre permettrait ».