«J’ai joué une partie importante de ma carrière là-bas, j’y ai eu un témoignage. Le club est dans mon cœur, je suis devenu fan de joueurs.
«Tout comme Patrick et Thierry, je reconnais de moins en moins l’Arsenal de notre époque.
« L’ambition de remporter les meilleurs prix est dans l’ADN d’Arsenal. Ne jamais accepter de perdre.
« Cette mentalité a lentement disparu. Je sens la résignation face à la situation actuelle. C’est grave. Comme si, compte tenu de la situation financière, il était normal qu’Arsenal termine en milieu de table.
« Cela n’appartient pas à ce club. L’ADN d’Arsenal doit être restauré. »