L'horreur de l'aéroport de Kaboul voit des Afghans mourir après s'être accrochés à un avion pour s'échapper

L’aéroport de Kaboul a été le théâtre du chaos alors que des civils afghans désespérés tentent de sortir du pays après la prise de pouvoir soudaine des talibans. Un certain nombre de personnes auraient été tuées à l’aéroport au milieu de tentatives désespérées de fuir l’Afghanistan. Une vidéo choquante capturée depuis l’aéroport de Kaboul semble montrer le moment où deux personnes sont tombées du train d’atterrissage d’un vol au départ.

Le court clip montre un gros avion décollant de la piste de l’aéroport de Kaboul.

Alors que l’avion commence à s’élever dans les airs et à prendre de l’altitude, on peut voir ce qui semble être une personne tomber du fuselage.

Le personnage, qui serait un passager clandestin, est suivi en second lieu par un deuxième Afghan qui s’effondre également.

L’aéroport de Kaboul est rempli d’évacués désespérés qui cherchent à quitter l’Afghanistan alors que les forces talibanes s’y installent.

Les troupes américaines ont été déployées à la hâte pour sécuriser le périmètre de l’aéroport au milieu d’un effondrement complet de la sécurité de l’installation.

Au moins trois personnes auraient été tuées à l’aéroport selon Correspondant du Washington Street Journal Sune Engel Rassmussen.

Il a écrit : « Au moins 3 civils, dont une femme, ont été tués par balles au milieu du chaos à l’aéroport de Kaboul, où l’armée américaine a pris le contrôle de la sécurité.

« Des milliers d’Afghans ont envahi l’aéroport dans l’espoir de vols d’évacuation. »

« Je pense que pour être clair pour vos auditeurs, nous ne sommes que maintenant en Afghanistan et nous avons été pendant les deux dernières semaines pour traiter ces personnes

« Nous ne remplissons aucune fonction diplomatique, nous sommes simplement là pour traiter tous les détenteurs de passeports britanniques et ceux envers lesquels nous avons des obligations.

« Nos hommes et femmes des forces armées risquent leur vie en faisant cela, mais c’est la bonne chose à faire.

« Ils ont risqué leur vie au cours des vingt dernières années et à tout le moins notre obligation doit être de faire passer le plus de personnes possible par le pipeline. »